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Les ennemis de notre camp sont la majorité : on contre-attaque

Ce n’est pas nouveau : toujours le même mépris pour la littérature jeunesse, et c’est un mépris qui vient aussi du camp qui s’imagine progressiste et allié des artistes, ici Le Monde diplomatique. Il y a vraiment quelque chose de moisi à gauche, ce n’est pas une spécialitité de droite : l’âgisme et le classisme (allez : le spécisme aussi) se portent très bien dans les journaux et les esprits d’une gauche qui aime se dire de gauche et pro-artistes, mais qui campe sur les mêmes positions que les conservateurs.
Très bonne réponse d’Alice Bri-Haq à un article qu’on aurait pu trouver dans le Figaro Magazine.
(on pourrait aussi citer tous ces journaux critiques qui ne parlent jamais de litt jeunesse ou de genre). L’ancien monde est dans le coeur de ceux rêvent d’en changer. Ils sont mal barrés.

« La littérature jeunesse est un magnifique sujet, si et seulement si on veut bien la traiter comme un véritable sujet, et non juste répéter inlassablement les mêmes clichés navrants en ajoutant »

Lire l’article ici :

http://le-wonderblog.blogspot.fr/2017/12/treve-de-confiserie.html