La frontière n’est pas entre les éditeurs papier et les éditeurs numériques, mais entre les éditeurs qui se soucient des auteurs, des lecteurs, qui sont civilisés, avec qui les rapports sont honnêtes, dénués d’arrogance et d’agressivité, et les autres. Même chose pour les auteurs, les critiques, les libraires. Il n’y a pas de paradis.