Je corrige les épreuves de La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique, qui sort chez Points Seuil en janvier. Pas grand chose, mais des trucs, comme « ville » écrit avec une majuscule, comme le héros en caleçon qui se retrouve en pyjama la page suivante, comme six adverbes qui ne sont pas nécessaires, etc. Il faut aussi que je corrige la biographie, qui est remplie d’erreurs (cela ne fait que le troisième livre qui sort chez Points, ils ont besoin d’encore un peu d’entraînement). Soyons patients.
Déjeuner avec Alix, mon éditrice. Nous avons parlé des premiers chapitres du livre sur mon père. Demain, je prends un thé avec Christophe Carpentier. Il fait froid et humide et Sarkozy est président et il y a des gens pour sérieusement croire que les socialistes vont mener une politique vraiment différente. (allez jetons un coup d’œil à l’étranger). Mais heureusement tout n’est pas pourri, la troisième saison de In treatment a commencé.
La rencontre à Brest était très sympa. Petit comité, mais cela nous a permis, à Quentin et à moi de nous pencher sur La mauvaise habitude d’être soi, de comprendre ce que nous pensions en énonçons nos pensées, genre de simultanéité magique. C’est la première fois que nous en parlons en public, que nous expliquons cette aventure, et c’est agréable de découvrir des choses sur notre propre travail grâce aux questions que l’on nous a posé, de voir que même dans l’explication de nos intuitions et de nos réalisations, nous sommes en accord, l’éthique est la même.
Les commentaires sont fermés.