Quentin et moi devons trouver un titre pour notre livre de novembre à l’Olivier et ce n’est pas encore ça.
C’est une belle soirée, je vais peut être rester ici, à manger de la soupe ou un autre aliment d’écrivain (nous avons nos propres magasins où l’on trouve principalement du riz, des lentilles, des betteraves, des pommes, des quiches aux épinards et aux pignons de pin, de l’huile d’olives, du jus de grenade et du chocolat – je ne sais pas pourquoi).