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New York et Paris

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Un blog créé par Penguin et mon éditeur Thomas Roberge sur mon avant-dernier roman, Peut-être une histoire d’amour, dont le titre américain est The discreet pleasures of rejection. Pourquoi le titre n’est pas le même ? Hm. Hypothèse : parce que les éditeurs américains doivent être un peu inquiets à l’idée de sortir un roman français. Ils ont donc fabriqué un titre explicatif et qui souligne (et qui rappelle Le charme discret de la bourgeoisie, un film qui est connu, enfin disons assez connu là-bas, en tout cas qui a laissé une empreinte, même vague, dans les esprits). La couverture est belle je trouve. Le blog est l’occasion d’un jeu de questions/réponses. Les questions sont de mon éditeur. Je n’ai pas relu mes réponses, j’espère que Tom a corrigé mes fautes (ou peut être les a-t-il laissé par souci d’intégrité… argh). Mon anglais n’est pas extra. Mais c’est l’occasion de parler du livre, de mes influences etc. En général Tom me pose une nouvelle question chaque semaine (je viens d’en recevoir une et il faut que je m’y attelle).

Entretien à l’Hôtel de Ville de Paris avec une femme du service de presse (ou service communication?) à propos de La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique. C’était très sympa. Nous nous sommes longuement baladés dans les salons avant de trouver un endroit où nous poser (des groupes en visite surgissaient tout le temps). Contrairement à ce qui est écrit (je me suis sans doute mal exprimé ; ce n’est pas très grave, ce n’est pas un point important), ce n’est pas un roman à clé, pas du tout. Extraits audio de notre entretien qui a bien duré vingt minutes. A un moment je lis un passage de mon roman, je ne lis pas bien, j’étais un peu tétanisé comme toujours dès qu’il s’agit de parler en public. J’aimerais bien avoir avoir la facilité de ces gens qui sont pareils en public et en privé.

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