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gaibei

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Thés découverts hier : galette de pu er n°54 de 2005 (shu) et pu er vrac n°31 de 2008 (sheng ; agréable, je le trouve différent de la pasha, mais Gilles -de la maison des trois thés- me dit que ce sont deux thés très similaires, je vais donc regoûter la pasha que je n’avais pas vraiment aimé -en tout cas je suis curieux de trouver un jeune pu er que je pourrais aimer). Thés de la Maison des Trois Thés. Rayon oolongs, mon préféré reste Tai Bai Zui Jui, mais c’est un thé d’exception (donc cher cher cher), je vais le garder pour des moments particuliers, ça pourrait être mon thé du dimanche (en oolong miellé de tous les jours le Wu Yi de Taïwan ou le Beauté Académique sont très bien, il faudrait aussi que je réessaye le si ji chun 2). Stéphane (teamasters) m’a envoyé un échantillon d’un gao shan cha (récolte fin novembre 2009). Je ne connais pas bien ce type de thés. Cela avait pour moi un côté trop translucide, pâle, léger. Je me trompais. Saveur incroyable. C’est sublime.

J’ai un caractère obsessionnel ; quand je m’intéresse à quelque chose je n’ai pas tendance à être raisonnable. Manière de peupler l’univers, de le remplir.

Mon premier gaibei/gaiwan. Je m’étais habitué à la théière en porcelaine, puis en terre. Et voilà qu’un gaibei (ils appellent cela un zhong je crois à la maison des trois thés) fait son apparition. C’est plutôt joli, pas cher (en cas de casse ce n’est donc pas un drame), et puis on peut admirer les feuilles, on contrôle bien l’infusion. Pour les gao shan cha, baozhongs, thés verts, certains oolongs, ce sera donc désormais gaibei.