Découverte de Abha Dawesar. C’est Jakuta qui m’a parlé de cette écrivaine indienne ; la rencontre (très bien animée) avait lieu au Virgin Barbès ce samedi en fin d’après-midi. Je n’ai pas encore commencé son dernier roman, ça ne devrait pas tarder. La rencontre fut intéressante et vivante, cela donnait très envie de lire son travail.
Je commence un nouveau livre ces temps-ci, et comme à chaque fois, je suis excité et déboussolé. Je ne sais pas comment débuter, je doute, j’écris, je peine à organiser, et puis je ne suis pas satisfait de mes phrases. C’est ainsi pour chaque roman, à chaque fois j’ai l’impression de recommencer à zéro, d’être un jeune écrivain devant sa première tentative. Ce n’est pas vrai, on acquiert une sorte de métier, d’expérience, mais on ne le sait pas, on ne peut donc consciemment compter dessus. Et même si c’est angoissant, il est bien que l’on ne sache pas que l’on est pas vraiment un débutant.
J’ai très envie de réquisitionner l’avenue Trudaine ces jours-ci ; et de m’y installer. C’est un endroit parfait en automne.
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