Après avoir terminé un roman, après la cavalcade et l’action, il faut partir pour une nouvelle aventure sans tarder. En tout cas c’est ce que je fais. Il y a quelques jours de dépression post partum, il ne faudrait pas qu’elle s’installe (la dépression sous d’autres formes rôde toujours et attaque souvent). Le travail (le mien) protège. C’est l’antidote à tout, le remède miracle, un genre de médecine chinoise mystérieuse qui échappe aux tenants de l’allopathie gavée par les info-commerciales des laboratoires pharmaceutiques. C’est un médicament dont la prise est violente et qui a son lot d’effets secondaires. Mais ça vaut le coup. Quand un de mes livres sort je travaille déjà sur autre chose, ça permet de mettre l’inévitable promotion en arrière-plan, cela lui enlève de l’importance. Je suis impatient d’avancer ce nouveau livre (et le suivant, et le suivant… si je manque parfois de courage, je ne manque pas de projets).
J’ai vu The Awful Truth avec ma cousine hier. Nous étions une trentaine dans la salle. C’est rassurant de constater que ce film puisse mobiliser des gens. Je me les imagine comme des alliés possibles. Ce film (avec Cary Grant) est une merveille.
Hier, rendez-vous avec mon éditrice pour parler de points précis de mon roman. C’est stimulant. Discussion avec O. C. .
Aujourd’hui le soleil n’est ni agressif, ni déprimant.
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