Depuis qu’une amie (Punk Aurelia) s’est lancée dans le zéro déchets, à la maison on tente de réduire la masse de trucs qu’on jette. On est très très moyennement doués pour l’instant, mais ça avance. On a un compost, mais pas simple pour des véganes niveau alimentation, il n’y a pas de tempeh ou de tofu sans emballages. On réduit notre garde robe (on commence à), à ne pas acheter, et on recycle : ici, transformation d’une vieille chemise en mouchoirs en tissu (après il y aura l’étape machine pour le zigzag, ça sera plus compliqué…). Alors bien entendu, réduire ses déchets fait partie d’une politique plus globale, et changer dans notre sphère privée ne suffit pas, même si ça compte.
On achète de plus en plus en vrac aussi, mais pas tout, et la seule boutique vrac total est en centre-ville. L’écologie est encore trop souvent un privilège de riches.