Malgré les multiples lectures, les éditeurs, les préparateurs, les correcteurs, il reste souvent quelques coquilles dans un livre. Dans mon petit livre rouge, il y en a déjà trois repérées (merci Jean-Louis Bailly -pour deux d’entre elles) : « féérique » à la place de « féerique », un « son » à la place d’un « ton » page 134, et je parle du journal de Flaubert (dans le texte et dans les remerciements) alors qu’il s’agit bien sûr de sa correspondance.