Aller au contenu

nous sommes des prétextes

  • par

Lewis Carroll par Karoline LeachJe viens de recevoir un email d’une jeune philosphe rencontrée à Solitude il y a un mois et demi. Nous avions échangé quelques mots sur le pas d’une porte, et cela avait très agréable. Elle me joint un texte qu’elle a écrit, en anglais : Intervals, possibilities, and encounters: The trigger of a ruptured history in Bachelard. Mon esprit paresseux passe son temps à être mis à rude épreuve. J’aime lire de la philosophie, même si je pense que je n’en saisi que la surface, il y a quelque chose d’inspirant dans les miettes que j’arrive à attraper. Monika a deux blogs, ici et .

Je suis toujours dans la lecture (j’avance lentement, d’autres livres m’occupent aussi) du Lewis Carroll, une réalité retrouvée, de Karoline Leach (Arléa).
« Dans le fossé qui sépare ce qui existait et ce que les biographes, les mémorialistes, les critiques littéraires et les psychanalystes sont parvenus à « voir », se trouve l’histoire de nos véritables rapports avec Carroll et Alice.
Donc si vous voulez bien le lui pardonner, cette exploration ne concerne pas principalement Charles Lutwidge Dodgson <le vrai nom de Lexis Carroll> ; elle vise à essayer de comprendre comment nous en sommes venus à le perdre. »

Pour la société, nous ne sommes que des prétextes.

Ce matin, Yong De Min Feng organic 2006.

Les commentaires sont fermés.