Lundi après-midi, j’étais l’invité de Toufik Akem dans l’émission A plus d’un titre. C’est ici. Quand une question arrive, j’ai toujours l’impression d’un précipice que l’on place devant moi, je dois alors trouver une manière de survivre, de construire un pont assez solide, des ailes pas trop fragiles. Je n’avais pas de réponse à certaines questions, j’ai parlé du pessimisme et de sa transformation, de l’absurde et de la promesse de sens qu’il offre (l’absurde n’est pas absurde), de ces histoires qui s’ancrent dans ma vie quotidienne, et dans la dureté de cette société, je ne l’ai pas fait, mais j’aurais du prononcer le mot « politique ».
la transformation du pessimisme
- par Martin
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