Le titre de travail de mon petit livre mettant en scène Beckett est « L’apiculure selon Samuel Beckett ». On verra si ce titre survit ou si j’en trouve un autre. Je dois rendre le manuscrit fin septembre, mais dans l’idéal il devra être terminé fin août, comme ça je pourrais le donner à relire, et le corriger une dernière fois.
Plein d’envies aujourd’hui, une énergie qui voudrait allonger les jours, et même prendre des jours du futur et les amener ici. Photos et textes avec un ami, petits films (mais ma caméra a un problème donc patience je dois récupérer la garantie à Paris). Et puis me remettre au livre sur mon père et continuer mon projet parallèle fou.
J’ai scanné mon premier dessin. Manière de dire : ok on y va, c’est là et pas seulement dans mes carnets. Ce dessin c’est un personnage qui me ressemble un peu (lunettes). J’ai de petites histoires à lui faire vivre et des choses bizarres à lui faire dire. Il y a un personnage féminin aussi.
Frigo comme un désert, c’est dramatique, je retrouve des paquets de riz et de haricots blanc dans mon placard (mais à faire tremper dans l’eau pendant 12 heures avant d’espérer les faire cuire, pfff quand la cuisine devient un marathon). Surtout drame, plus de dessert, pas de fromage, plus de lait de soja, rien d’un peu amusant. Demain, courses.
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