Lundi je suis passé à l’Olivier pour parler de mon livre de novembre avec Alix Penent, mon éditrice. Je dis « mon livre », en fait c’est « notre livre », à Quentin et à moi. La maison d’édition est installée dans de nouveaux bureaux, bien plus spacieux et agréables que les anciens. Bon, je déteste ce quartier ranci et bourgeois, mais passons. Alix m’a présenté les propositions de couverture. C’est la deuxième vague. Il faut du temps pour trouver la couverture qui ira, c’est à dire qui me satisfera et plaira aussi aux éditeurs. On discute, on s’écoute et la plupart du temps ça roule (malgré des frayeurs avec souvent les premières propositions de couv). Puis Alix me parle de mes textes (ce sont des histoires, sept), il y a des répétitions, de menus problèmes, des erreurs et des problèmes que j’ai laissé passé je me demande comment, rien de grave heureusement. Nous parlons ensuite du calendrier. Elle voudrait présenter deux histoires à la réunion avec les représentants (qui vont parler du livre aux libraires) du 25 juin, je vais les retravailler en priorité (je dois les lui envoyer vendredi). Les autres peuvent attendre début juillet. On se voit tous les trois (avec Quentin donc) le 12 pour discuter de l’ordre des histoires, des dessins, de la mise en page. Il y a de belles conspirations.