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la constante danse des rendez-vous

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Retour. J’ai lu Coney Island Baby de Nine Antico et je commence le dernier roman de Delphine de Vigan, Les heures souterraines (et ça commence très bien). Je lis aussi le roman le plus poignant jamais écrit : Des fleurs pour Algernon (Flowers for Algernon) de Daniel Keyes.

Mercredi j’ai enregistré une émission sur TSF, Jazz Fan, animée par Laure Albernhe. On a passé quelques morceaux que j’aime beaucoup, j’en ai parlé, je pense que c’est un peu confus (la confusion maximale étant atteinte quand j’ai essayé de résumer le roman de Gil Scott-Heron, ça donne quelque chose comme « C’est un livre sur un homme, du ghetto et… euh » – puis je m’en prends à Johnny Cash, et là je dis n’importe quoi, vraiment n’importe quoi, alors je présente mes excuses au fantôme de Johnny Cash). Sinon à part mon moment de folie (dire des bêtises pour appuyer mon point de vue, pfff, bravo ce n’est pas très fin, je ne suis pas fier de moi) c’était une chouette émission.

Cette semaine à Paris n’a été qu’une constante danse des rendez-vous. La plupart heureux (Jakuta A., Nathalie Kuperman, Rodrigo Bernardo, Marc Molk, les garçons… et puis j’ai passé une nuit entière à discuter avec une amie et une voisine, une quasi nuit blanche ce qui ne m’était pas arrivé depuis dix ans).

J’ai un nouveau projet, un roman graphique avec Marc Molk. Cela devrait donner quelque chose d’intéressant. Je dois me mettre au travail. Mais d’abord terminer deux trois choses cette semaine.

Je commence bientôt le livre sur ce qui est arrivé à mon père. Mon frère m’a envoyé cette petite video réalisée par Emmanuel Bellegarde. Cela s’appelle Une vie et ce n’est pas sans lien avec l’histoire de mon père. Je vous la conseille, vraiment, vraiment.

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