Mardi après-midi La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique est arrivé aux éditions de l’Olivier. Emballés par seize, paquets posés les uns sur les autres, sur la table de la grande pièce du deuxième étage ; des dizaines et des dizaines d’exemplaires (je crois qu’il y a deux cent livres envoyés à la presse, journaux, radio, internet -et un nombre équivalent envoyé aux libraires). J’ai ouvert un paquet et j’ai pris un exemplaire. Le livre, au départ une idée vague en tête, mais entêtante, début d’obsession ; fruit de milliers de décisions, de mois de travail, de corrections, de discussions sur sa couverture, sur la quatrième. J’étais assez ému. C’est de la magie.