Je reçois des emails via ce site, des messages via Facebook, des lettres. Je réponds toujours ; néanmoins il est probable que, au cours de ces huit dernières années, j’ai oublié de répondre à certains, et j’en suis désolé. La distraction en est la raison, non l’indifférence. Voilà qui est dit.
Retour en Allemagne. Ce midi je vais en ville pour faire des courses. Un cours de russe a surgitdurant ma courte absence. Liliana Corobca vient de me donner trois feuilles d’explication sur l’alphabet. Après le cours d’allemand en anglais, voilà le cours de russe en allemand (les feuilles imprimées sont en allemand, mais Liliana parle français). Dans quelques temps je pense qu’une novlangue va surgir de toutes les langues parlées et mélangées ici, de l’anglo-franco-italiano-russo-allemand.
Préparation de la sortie de Peut-être une histoire d’amour (The Discreet Pleasures of Rejection, en est le titre anglais) aux Etats-Unis. Echange d’emails avec Thomas Roberge mon éditeur chez Penguin, à propos de la couv, questions sur mes influences (pour l’argumentaire et la quatrième) etc. C’est agréable d’être associé à la sortie de son roman à l’étranger. Ce n’est pas très souvent le cas, dommage. Comme il est passionnant (et rare) de travailler avec son traducteur, d’être en contact.
Les commentaires sont fermés.