Aller au contenu

Recueil de poèmes, éditions Bruno Doucey


Recueil de poèmes sur la magie de Noël, sa puissance émancipatrice, sa douceur. Noël comme allié intime et collectif.

Création et sérigraphie de couverture, et mise en page intérieure, par Julia, atelier Projeta, Nantes.

40 pages

(Suite à une discussion avec une tds, qui me disait que l’usage du mot « putain » lui semblait possible s’il n’était pas sur-utilisé, j’ai décidé de retirer des occurrences de ce mot de ce recueil au cas où il y aurait une nouvelle édition du livre, et de remplacer ce mot dans le titre.)

Noel-poemes-Martin-Page-904x1024-2

————————————————————————————————————————————————–

Mon essai, précédemment publié par nous aux éditions Monstrograph, est ressorti aux éditions Le Nouvel Attila et est donc disponible partout.

pénétrationmonstrograph2

————————————————————————————————————————-

Flora et Max

Les nouvelles vies de Flora et Max sort aujourd’hui à l’école des loisirs !

C’est la suite du trépidant et claustrophobique La folle rencontre de Flora et Max.
Ce nouveau livre est aussi écrit avec ma partner in crime, Coline Pierré, roman à deux voix avec comme ingrédients : l’amitié mais peut-être plus, un oiseau en voie de disparition, le roller derby, toutes les angoisses du monde, un Max en CAP, une Flora à la fac, beaucoup de vieux et de vieilles très combattifs.ves., de la cuisine, une lutte contre le grand commerce, des lunettes fondues, et pas mal de folies…

———————————————————————————————————————

Récit du parcours de l’auteur vers le véganisme, ce livre navigue entre essai et aventure intime pour présenter la cause animale comme une lutte politique et éthique exigeante mais aussi joyeuse et inventive.
Être végane, c’est avoir la conviction que l’être humain ne doit pas asservir et tuer les animaux pour manger, se vêtir ou se divertir. C’est un chemin passionnant et imparfait, riche en réflexions, débats, rencontres et connaissances.
En racontant son quotidien, en présentant d’autres trajets et motivations (liées à l’écologie, à la santé), en informant sur la nutrition, en montrant que le véganisme est accessible et gourmand, et qu’il n’a rien à voir avec l’ascèse ou la pureté, Martin Page invite chacun, qu’il soit végane, végétarien ou omnivore, à s’interroger sur le regard qu’il pose sur les animaux et sur la place que leur assigne la société.
La lutte pour les animaux est une question de justice sociale. Il est plus que temps d’inventer un monde empathique et égalitaire.

animaux ne sont pas comestibles

——————————————————————————————————————————

artreveniralaviemartinpage

Présentation de l’éditeur :

Martin, le narrateur, vient d’avoir quarante ans. Il se rend à Paris pour rencontrer une productrice qui souhaite adapter un de ses romans au cinéma. Il loge chez un ami artiste qui lui prête son appartement. Il y découvre la dernière oeuvre de celui-ci : un sarcophage de métal curieusement titré :  » Machine à remonter le temps « . Il s’y glisse et s’y endort. Le voilà revenu, 29 ans plus tôt, dans la ville de sa jeunesse, face à un double de lui-même alors âgé de 12 ans. Le lendemain, il retrouve la productrice pour discuter de l’adaptation de son roman. Mais très vite, tout déraille. Le projet de film est annulé et les exigences de la cinéaste deviennent pour le moins surprenantes. Chaque nuit que compte ce séjour parisien où rien ne se passe comme prévu, Martin et son jeune moi poursuivent l’échange. Le quadragénaire cherche à donner des conseils au jeune ado, en échange de nouvelles sur son propre avenir. Mais la relation se complique : décidément, ce double-là a l’esprit de contradiction, au point de mettre Martin, qui ne désire que l’aider, en difficulté, dans sa vie réelle comme dans l’autre, la vie rêvée. Que faire du passé ? Comment être fidèle à l’enfant que l’on a été ? Sous des dehors volontiers humoristiques et fantasques, L’art de revenir à la vie met en scène les concessions, les négociations et le bricolage qui président à notre existence.

*************************************************************************************

Je suis un dragon, janvier 2015, éditions Robert Laffont.

« On s’habitue à être surhumain, et très vite on comprend que ce n’est qu’une des multiples façons que la vie a trouvées pour nous dire qu’on est un inadapté. »

C’est une histoire de superhéros (de superhéroïne en l’occurrence) qui se déroule entre les États-Unis, Paris et Berlin.
L’idée était d’écrire un livre à la fois d’action et d’introspection, violent et (j’espère) féministe. Le long chemin vers l’émancipation d’un être hors norme.

dragonpage2

Présentation de l’éditeur :
Margot est une jeune orpheline timide et solitaire. Un jour, elle découvre sa véritable nature : elle est douée de capacités extraordinaires. Ces pouvoirs la terrifient, elle les dissimule jusqu’à ce qu’un événement tragique la contraigne à se dévoiler. On lui demande alors de mettre ses dons au service de l’humanité. Sa vie se partage désormais entre son quotidien de jeune fille espiègle et des missions d’une grande violence. Adulée et crainte, elle devient une icône. Mais peut-on sauver le monde si l’on s’y sent étranger ?
En s’inspirant de l’univers des superhéros, Martin Page se réapproprie les codes habituels du genre.
Captivant, bouleversant, Je suis un dragon est un roman sur la puissance de la fragilité et la possibilité de réinventer sans cesse nos vies. Conte initiatique, récit introspectif, parabole visionnaire sur l’irrationalité de l’homme et sa monstruosité… Je suis un dragon nous interroge sur la manière de préserver notre humanité dans un monde qui a perdu son sens.


manuel-ecriture-survie-2

Manuel d’écriture et de survie, éditions du Seuil, sortie le 2 mai 2014.

Présentation de l’éditeur : « Dans ce livre, Martin Page répond aux interrogations d’une jeune écrivaine. Elle s’appelle Daria, elle veut écrire un roman. Au fil de leurs échanges, il lui donne des conseils d’écriture, mais surtout il esquisse des moyens de se débrouiller avec le monde, avec le milieu littéraire, avec ses propres névroses et fragilités. C’est d’abord un livre sur la réalité des écrivains d’aujourd’hui : l’envoi d’un manuscrit, les rapports avec les éditeurs, et avec les autres auteurs, l’argent, la maladie, le féminisme, la littérature jeunesse et de genre, le numérique, les ateliers d’écriture… Il s’agit de concilier l’exigence d’une pratique artistique et la vie quotidienne.
Au fil de ce dialogue, Martin Page dessine une sorte d’autoportrait. Entre dépression et exaltation, il nous parle de l’art sauvage de l’écriture, un art encore jeune, riche de possibilités. Sans escamoter la dureté sociale ni la réalité des coups et des blessures, il défend l’imagination comme forme de résistance. Pour lui, la littérature est un sport de combat autant qu’un des grands plaisirs de l’existence. »


couverture-apiculture-martinpage-l740

L’apiculture selon Samuel Beckett, éditions de l’Olivier, 2013 (illustration couverture Chloé Poizat)

Un été à Paris, un doctorant en anthropologie est chargé par Samuel Beckett de classer ses archives. La rencontre lui semble si improbable qu’il en tient le journal afin de ne rien oublier. Le Beckett extravagant qu’il décrit est bien loin de l’homme austère qu’il imaginait. Ce récit est une réflexion sur l’image de l’écrivain, sa mémoire, l’utilisation de son oeuvre.